Imaginons-nous que c’est en grande partie à force de soumettre l’évaluation de nos créations uniquement à certaines formes de reconnaissances que les expressions culturelles artistiques ne sont déjà plus considérées comme des produits de première nécessité : Paradé-si-tapi-wouj-bwè-é-manjé-kliké ki tout ?
Depuis 2001 pour les arts-graphiques et 2009 pour l’audiovisuel, et parce que les exemples de films à million de dollars pouvant être considérées comme des « daubes » sont légion, Yé Clik a choisi de participer au milieu artistique guadeloupéen, en vue d’illustrer le fait qu’exister commence par la démarche de se mettre aux yeux de son environnement proche (qu’elle que soit son milieu social), puis de se soumettre à son regard tout en participant à son éveil…